Un pommier-poirier appelé Bruxelles
Dans le numéro 3823 du Spirou magazine, les auteurs veulent sauver la Belgique.
Des auteurs confirmés se sont prêtés au jeu; Animal Lecteur (Sergio Salma et Libon), Les fifiches du professeur (Lécroart), Les démons d’Alexia (Dugomier et Ers), Chers Voisins (Gilles Dal, Philippe Bercovici et Catheline) et Le royaume (Feroumont et Coopman).
D’autres dessinateurs s’y sont essayés … heu … j’aime bcp moins. C’est vraiment un métier qui prend du temps et qui demande beaucoup de travail avant de parvenir à faire vivre des personnages.
Je reçois donc mon Spirou et, comme plein d’autres, je commence par lire le quatrième de couverture, dont voici l’histoire 1 sans savoir que le Spirou parle de la Belgique.
J’adore cette jolie métaphore sur les pommes et les poires qui résume assez bien notre “problème”.
Emma (5 ans) conclut:
Il suffit de donner le pommier-poirier à celui qui récolte les cerises puisqu’il en a le moins !
… et voici une nouvelle solution à envisager.
Au sujet des langues, les Wallons ont encore une guère de retard sur les Flamands. Maintenant que l’on parle de séparatisme, les Wallons ne parlent plus que d’immersion et autres moyens d’apprendre le néerlandais. Alors, et je le dis 2 depuis de nombreuses années, qu’il suffit que l’on apprenne sa langue maternelle (néerlandais ou français ou allemand) et l’anglais.
C’est sans doute beaucoup moins humain et social … mais qu’est-ce que ce serait efficace ! Et partout on envoie (de manière électronique ça coûte peu cher) les document en “langue maternelle” et en anglais.
Lorsque je fais le chemin de la gare à l’école j’entend (presque) plus parler anglais que français ou néerlandais …
Mais, je m’oublie, je ne parle jamais politique ;-)