notes·de·pit

Parfois j'apprends à pêcher à des gens qui n'aiment pas le poisson

Bien choisir son soutien

Une fille en soutien-gorge jaune

Bien choisir son soutien-gorge c’est en fait ne pas en porter.

Lorsqu’on lit l’actualité — on perd un peu son temps — mais on est parfois mort de rire. Je suis mort de rire parce que je préfère en rire qu’en pleurer. Or donc, comme tout garçon, je suis un peu voyeur. Lorsque j’ai une femme en face de moi, je regarde son visage (c’est mieux pour se parler)… et un peu tout le reste. Force est de constater qu’en Belgique la plupart des filles portent un soutien-gorge. Je pense que socialement « ça le fait » et que c’est plus pratique. En tout cas, c’est ce que me disent les filles que je côtoie. Je ne pense pas qu’elles portent un soutien car nous avons une culture judéo-chrétienne.

Et bien — accrochez-vous ou asseyez-vous — le port du soutien est tout à fait religieux. Si dans une société « judéo-chrétienne » (la majorité) des filles porte un soutien-gorge, il est interdit par une société musulmane radicale.

Petits morceaux choisis d’un article dans un journal suisse, LE MATIN.ch (lien mort).

L’intro n’est peut-être pas drôle mais il faut se mettre dans le sujet.

Celles qui portent un soutien-gorge sous le voile sont fouettées en public.

(…)

«Les islamistes disent que la poitrine d’une femme doit être ferme naturellement, ou bien plate», a expliqué au journal africain Gabon Eco la mère d’une fille punie sévèrement en octobre

(…)

Les miliciens multiplient donc les points de contrôle pour exiger des femmes qu’elles sautent et secouent le torse, pour vérifier si les seins bougent naturellement…

LE MATIN.ch

Demain à l’école je demande à mes collègues et à mes étudiantes de sauter et de secouer le torse.


Image générée par une IA lorsque l’article a été édité en juin 2024.